That's the way the whole thing started

C'est simple, naïf et plein d'énergie, c'est la chanson " giboulées de mars ". Frite d'enfer assurée à tous les coups même après plusieurs réecoutes.
Le break est un peu compliqué mais demeure un exemple d'agilité psychomotrice.
The Hollies - Bus stop

The Raincoats

Il y a quelques mp3 qui survivent le passage d'un ordi à un autre, puis à un autre etc... Oui Bowie, bien sûr, mais aussi quelques morceaux dont on ne sait pas grand chose, un groupe dont on a qu'un morceau, et qu'on arrive pas à jeter parce qu'on est toujours content quand il arrive dans le shuffle. C'est le cas de celui-ci, un morceau d'un groupe de punk anglais fin des années 70. Je me souviens avoir passé ce morceau à la toute première Androgyny, dans l'ancêtre du troisième lieu, La Traverse. Xavier et Cécile avaient accouru vers moi affolés en me disant qu'il devait y avoir un problème de son avec mon morceau, que c'était inaudible, un brouhaha complètement saturé. Héhé, it's only rock'n'roll, baby. 

The Raincoats - Fairytale in the Supermarket

Bea Arthur

Les plus vieilles d'entre vous auront reconnu Dorothy Zbornak des Golden Girls (Les craquantes en VF), mais Bea n'a pas fait que de la télévision. Elle a commencé sa carrière dans le théâtre musical américain Fiddler On The Roof, Mame... Elle interprète ici une chanson comique ; pour simplifier, c'est un peu comme du Boby Lapointe mais en anglais et en mieux.

Bea Arthur - What Can You Get A Nudist For Her Birthday

original vs. reprise (1)

Y'a pas des tonnes de chansons dont j'aime écouter l'original ET la reprise. Bon celle-ci c'est facile c'est quasiment la même. Ca parle de mettre des fleurs dans un vase, écouter des chansons devant un feu de cheminée, pendant que les chats se baladent dehors. Et ça fait lalala. 

CSNY - Our House

Phantom Planet - Our House

Plaisirs coupables (2)

Je trouve que c'est une merveilleuse chanson qui n'est pas reconnue à sa juste valeur. Je l'écoute souvent, voire très souvent, voire trois fois par jour par moments.
J'en ai parlé l'autre fois à je sais plus qui mais j'ai mal prononcé et ça donnait "my hole for one more night with you" alors évidemment, on a pas compris de quoi je voulais parler.
Et puis j'aime beaucoup Mariah Carey car elle est l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire avec son corps quand on est une star internationale : prendre 20 kilos et porter des robes tubes, les reperdre, faire du ski nautique en talons une coupe à la main, les reprendre sans perdre la face et vocaliser toujours avec la même incroyable intensité.
Le texte est déchirant et la rime est belle :
"I am thinking of you in my sleepless solitude tonight
If it's wrong to love you then my heart just won't let me right
'Cause I've drowned in you and I won't pull through without you by side.
I'd give my all to have just one more night with you
I'd risk my life to feel you body next to mine
'Cause I can't go on living in the memory of our song
I'd give my all for you love tonight"
Et puis enfin, elle est quand même ultra belle même fagotée n'importe comment.
Mariah Carey - My all

Mystery Jets - Young Love

Pour faire plaisir à la Bitch on the rags et pour la détendre voici un peu de pop anglaise avec un mignon clipounet coloré. On avait déjà adoré il y a quelques années leur chanson Lizzies Lion.

You're not sick, you're just in love

Elles sont à côté du début à la fin. Improbable, faux et saturé.
Unknown - I wonder why

Interlude

Ex-groupe de Colin Blunstone, ont surfé sur l'effet Beattles.
Cette chanson résume à elle seule le thème général de tous leurs textes de l'époque : l'amour courtois, la pudeur, les sentiments cachés et pourtant fervents.
c'est joli et c'est pour le vendredi après-midi
The Zombies - The way I feel inside

Blind

Je sais pas du tout si c'est méga old news, que ça m'avait complètement échappé, que ça passait en boucle à la mort à jacqueline truc en 2006, mais samedi soir aux choux fleurs j'ai entendu ça pour la première fois et depuis je bloque. 

Et qui est ce chanteur extraordinaire? (là je déconne)

BLIND (feat. Antony Hegarty) - Hercules & Love Affair

Plaisirs coupables (1)

Bon normalement, ils ne sont que cinq et ils sont habillés en bleu...
La platine n'en a pas voulu vendredi dernier et d'habitude, je dis pas trop que j'aime ça pour des histoires de réputation. En réalité, c'est un truc d'enfance, qui... comment dire... me disait ce que je savais déjà (de toutes façons, vu ce qu'il y avait sur l'étagère à l'époque, c'était ça ou les Los chiricos - un truc pas trop mal à la flûte de Pan).
Sugar baby love est aussi, avec "Make your own kind of music" des Mamas and Papas, la musique idéale pour les génériques de fin, style plan fixe de haut sur des gens ultra heureux qui jettent en l'air des photos, des cahiers ou des chapeaux de diplômés.
Ne pas rater la rime extraordinaire du break qui n'en finit pas de nous galvaniser :
"People, take my advice, if you love someone, Don't think twice"
The Rubettes - Sugar baby love

Stop Cats ! - A Chorus Cat

Forbidden Broadway est un off broadway show qui depuis 1982 parodie les musicals et imite à gros traits les interprètes à l'affiche ou sketche en maquillage et costumes les monstres sacrés.

Ici, A Chorus Line (*), le broadway show qui suit une troupe de danseurs et de chanteurs dans toutes les étapes de préparation d'un show, des premiers casting au final de la générale ; est transposé sur les répétitions d'un autre show incontournable : Cats (**) .

God I hope I get it devient alors Meow! I hope I get it et One, Cats.

(*) A Chorus Line créé en 1975 sur un livret de James Kirkwood et Nicholas Dante, paroles des chansons de Edward Kleban sur une musique de Marvin Hamlisch.

(**) Cats composée par Andrew Lloyd Webber en 1979 d'après Old Possum's Book of Practical Cats et d'autres poèmes de T. S. Eliot et créée à Londre en 1981 est réputée pour être la comédie musicale la plus longtemps à l'affiche bien que peu appréciée de la critique (pour ma part, c'est effectivement pas très bon...)

There is a tavern in this town where every waiter wears a gown

Bon il faut que je me rachète après cette ignominie de Lee Greenwood. Ceci est encore une curiosité (comprendre: musicalement assez moyen) mais qui devrait plus être dans vos goûts, il s'agit d'un extrait d'un mystérieux album de chansons homos chantées par des folles anonymes au début des années 60. Plus d'infos sur cet album, et le reste des morceaux à télécharger ici. 

A bar is a bar is a bar

Too many heartaches in my life time ain't good for me

Pour changer de la thématique " ces gros nases d'américains ", je propose cette chouette chanson bien faite et dégoulinante d'harmonies. Evidemment, c'est moins pointu que Lee Greenwood, mais c'est moins culcul que " how deep is your love". Il y a dans cette pièce un climax victorieux genre " je suis fou de bonheur " et une résolution qui va avec : " tu ne peux pas changer comment je me sens dedans, je t'aime même si t'es une pourriture avec moi ".
Bref, après exaltation et jouissance, soulagement et pardon...
A écouter après une bonne grosse engueulade, au moment des retrouvailles...ou bien toute seule.... un jour de poussée romantique
Bee gees - Inside and out

Justify my war

Ah, les United States of A., Bush, la guerre...







"The British government has learned that Saddam Hussein recently sought significant quantities of uranium from Africa."
G.W.Bush / State of the Union speech / 2003

16 mots pour justifier la guerre. ABSURDE, comme le souligne Margo Guryan en reprenant la phrase telle quelle dans sa chanson.




Margo Guryan - 16 words

Lee Greenwood - God Bless The USA

Lee Greenwood est un chanteur de country patriotique qui ressort sa chanson pourrie à chaque fois que les états-unis partent en guerre. Après le 11 septembre il en a fait un remix avec des extraits des réactions à la chute des tours: un chef d'oeuvre de kitsch et de mauvais goût.  Tout ce que j'aime. ATTENTION cette chanson peut vous provoquer une crise d'urticaire, c'est pas pour les sensibles. 

God Bless The USA

Queer-fashion week

C'était le nouveau film de bruce labruce au palais de Tokyo dans le cadre des cartes blanches à MHB (see who I mean). Un porn zombie (avec surtout des zombies) lowbudget avec que des stars dans le film et dans la salle. J'en ai dit tellement de mal en sortant que je ne me souviens même plus de ce qu'il était important de retenir de tout ça...
Ah ouais, que la B.O était mortelle.
The Homophones - Everyone's dead

Bowie vs Beatles version 2008

MGMT (Management). Week-end Wars. 2008. Monsieur David Bowie voulez-vous prendre pour époux les Beatles, ici présents ? Oui. Je le veux...