mercredi 30 avril 2008

Week-end tracks



Alors dans l'ordre :
Eux, ils sont plutôt drôles, je comprends pas toute la démarche mais fallait le faire. A quand notre propre chorale ?
180 Gs - Car bomb

Je sais c'est un peu old news et ça ressemble à MIKA, mais j'aime le choeur. D'ailleurs, dans la série" j'adore mais je comprends rien", on pourrait penser qu'ils disent "ta gueule" en canon.
Of Montreal - Gronlandic edit

Elvis avec une cape egotripé et sous acide, ce type a la plus mauvaise presse de tous les temps. On dit de lui que c'est "dommage qu'il ait passé cinq ans à faire un album parce que c'est vraiment affreux". Vous me direz...
John Maus - Rights for gays

dimanche 27 avril 2008

est-ce que ça t'offense ouais?


Comme quoi quand on aura eu notre cancer de la gorge et qu'on sera obligés de parler avec un larynx artificiel par un trou dans le cou, et bein on pourra quand même être chanteur dans un groupe anglais de cools. 

Quand je vous dis qu'il reste plein de bonnes nouvelles. 



samedi 26 avril 2008

Domo Arigato!


Attention kitshkulte. Il y avait Queen. Et puis il y avait Styx. Styx c'est Queen, mais avec plus de synthés, moins  de Freddy Mercury, et plus d'extraterrestres. 

Le morceau qui suit, et que je rêve de faire en Mimioke (version du karaoke où on fait juste semblant d'être le chanteur de la chanson devant un public alcolisé), raconte l'histoire d'un super robot fabriqué au japon, intelligemment nommé "monsieur roboto", et qui a un secret. Il s'avère être en réalité une machine à tuer dont le vrai nom est Kilroy. Les boules. Oui parce que Styx c'est aussi, et surtout, un regard critique sur la société et la technologie, et ça on oublie souvent de le dire.  


(Petit moment trivia: le nom kilroy fait référence à un mystérieux graffiti qu'on retrouve un peu partout aux états-unis depuis une cinquantaine d'années. Parce que Styx c'est aussi un regard postmoderne sur la culture populaire américaine et ça on oublie souvent de le dire)


vendredi 25 avril 2008

mercredi 16 avril 2008

Flashing. Lights.


Je ne peux plus me taire, j'adoooore ce morceau de Kanye West. J'écoute ça en sortant de chez moi le matin, je vous dis pas comment je m'y crois, je me prends pour un agentsecret/topmodel/superstar en arrivant au tourniquet alors que j'ai du papier toilette sous la semelle. 

Hercules & Love Affair, REMIX!


Pour ceux qui ont aimé la chanson Blind que j'ai posté l'autre jour, voici un remix de Franckie Knuckles à ne pas louper. Tu kiffes les nappes? 

jeudi 10 avril 2008

Recital I for Cathy


Référencée quatre fois sur le brillantissime (et folle et drôle) vinyldivas.com, une première fois dans la catégorie CROSSOVERS / AT FIRST, SHE WAS AFRAID pour son album de reprises des Beatles, une seconde dans la catégorie HAIR & MAKE-UP EMERGENCIES / HAIR-DONTS pour sa couleur bleue électrique sur la pochette de son récital Monteverdi, une troisième fois dans ODDITIES / EYEPOPPING ENIGMAS pour une création de son mari Lucio Berio et une quatrième et dernière fois pour A la recherche de la musique perdue, sous titré par VynilDivas "Leave it to Berberian to come up with edgy challenging downright ugly LP covers. But for her -- it works." (celle qui me dit dans quelle catégorie on trouve cette pochette aura toute ma considération parce que moi, je l'ai pas trouvée !), revoici Cathy Berberian dite La Berberian, réputée pour son penchant pour la mise en scène excentrique - Hélène H. m'a dit l'avoir vu sur scène chantant du Monteverdi en préparant des pâtes...

La voici non pas dans Ticket to Ride (*) mais dans un extrait, en anglais, de
Die Dreigroschenoper de Kurt Weill : The Song of Sexual Slavery.

(*) Inoubliable performance lors de la PLUG UEEH 2006 - chorégraphie par Coco du Bois Joli

lundi 7 avril 2008

Merrily we roll along


La chanson que j'écoute tout le temps en ce moment, c'est un morceau de bravoure extrait de Merrily we roll along (*), un spectacle musical de Stephen Sondheim qui retrace - à rebours- le parcours de Franklin Shepard, un compositeur à la mode.
Au fur et à mesure du spectacle, on balaye l'apogée de la carrière, les compromis artistiques fait pour en arriver là et les amitiés laissées sur le bord du chemin. Merrily traite de l'amitié, l'amour, le succès, le commerce, l'art, nous montrant "How does it happened?"

Musicalement, ce sont de grands ensembles vocaux (souvent discordant) qui font office d'intermède ou d'introduction dans la période abordée et quelques solo, duo, trio entre Franklin Shepard, son meilleur ami Charley et Mary, flirt, épouse puis ex-femme de Franklin.

Franklin Shepard Inc. est le morceau où Charley (interprété par Lonny Price) est interviewé par la télé sur sa façon de travailler avec Franklin. De l'amertume sur les sacrifices faits aux regrets sur une amitié émoussée (A t-elle réellement existée ? - Like the way it was du même show semble répondre "non"). Mais la vie comme le spectacle continue toujours.

En bonus, voici Bernadette Peters intérprétant "Not a day goes by" du même Merrily.

* Merrily We Roll Along, du 16 Novembre 1981 au théatre Alvin, New York City au 28 Novembre 1981 (16 performances) d'après une pièce du même nom par George Kaufman et Moss Hart